Communiqué de la députée de la 4e circonscription des Côtes d'Armor.
Résumé
Sur les réseaux sociaux Murielle Lepvraud réitère son soutien à Dourioù Gouez.
Billet
L’entreprise Smart Salmon a annoncé vouloir poursuivre le projet d’usine de saumons à Plouisy. Encore un projet de ferme-usine, au nom de la création d’emplois locaux !
Nous ne pouvons plus nous satisfaire de cette accumulation d’entreprises agroalimentaires exploitant de la main-d’œuvre bon marché invisibilisée. De plus, ce projet aurait un impact carbone démesuré et entraînerait artificialisation des sols, risques sanitaires, maltraitance animale, consommation d’eau outrancière… Et ce, alors que la Préfecture nous alerte sur « un risque sérieux de rupture de l'alimentation en eau potable » d’ici la fin du mois d’octobre.
Il appartient dorénavant aux élus de Guingamp-Paimpol Agglo' de se prononcer sur la poursuite du projet. Nous attendons avec impatience de voir si ces élus choisissent la bifurcation écologique, ou s'ils continuent à s'enliser dans ce projet d'une époque révolue.
Je dénonce ce projet industriel énergivore et potentiellement destructeur des écosystèmes. Je réitère mon soutien au collectif Dourioù Gouez qui réclame la transparence des pouvoirs publics sur ce dossier.
On ne peut plus laisser les hommes d’affaires décider seuls de l’avenir de nos territoires. Il nous faut retrouver le sens de l’intérêt général et de l’intérêt du vivant.
Nous ne pouvons plus nous satisfaire de cette accumulation d’entreprises agroalimentaires exploitant de la main-d’œuvre bon marché invisibilisée. De plus, ce projet aurait un impact carbone démesuré et entraînerait artificialisation des sols, risques sanitaires, maltraitance animale, consommation d’eau outrancière… Et ce, alors que la Préfecture nous alerte sur « un risque sérieux de rupture de l'alimentation en eau potable » d’ici la fin du mois d’octobre.
Il appartient dorénavant aux élus de Guingamp-Paimpol Agglo' de se prononcer sur la poursuite du projet. Nous attendons avec impatience de voir si ces élus choisissent la bifurcation écologique, ou s'ils continuent à s'enliser dans ce projet d'une époque révolue.
Je dénonce ce projet industriel énergivore et potentiellement destructeur des écosystèmes. Je réitère mon soutien au collectif Dourioù Gouez qui réclame la transparence des pouvoirs publics sur ce dossier.
On ne peut plus laisser les hommes d’affaires décider seuls de l’avenir de nos territoires. Il nous faut retrouver le sens de l’intérêt général et de l’intérêt du vivant.